DSK se paye le luxe d'un biographe à la botte pour faire remonter une hypothétique cote de popularité. Il est des moments où l’on devrait au moins afficher une certaine décence, surtout lorsque l’on affirme "J'ai décidé de rompre avec tout cela. C'est fini".
Quelques extraits d’un livre que je n’achèterai évidemment pas, nous révèlent toute sa duplicité…
Il reconnaît bien « une vie sexuelle libre » mais dit qu'un tel comportement n'a rien de rare dans la politique ou les affaires et assure n'avoir « rien fait d'illégal ». Pauvre excuse qui ressemble à une menace pour ses congénères…
« Lors de ces soirées galantes, il ne débourse jamais un centime » ajoute finement l’auteur… Sinon l’argent, on peut se demander ce qui pousse ces "canons de beauté" à traverser l’Atlantique comme une volée d’étourneaux, à l’assaut de cet Apollon, dans les parties fines auxquelles il participe, … Qui paye ?
« La prostitution, le proxénétisme, je les ai en horreur », dit encore Dominique Strauss-Kahn. Peut-être la prostitution de trottoir, pour le reste toutes les turpitudes dévoilées par cette affaire prouvent le contraire.
Effronté menteur avec cela…
