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18 mai 2010 2 18 /05 /mai /2010 13:37

Affaire Courjault : une indulgence coupable

 

En prison depuis octobre 2006, Véronique Courjault, qui a été condamnée à huit ans de prison en juin 2009 pour trois infanticides, est sortie de prison vendredi dernier après avoir bénéficié d'une libération conditionnelle. Elle a reconnu avoir tué à leur naissance trois de ses enfants entre 1999 et 2003, conservant deux corps au congélateur. Bilan de la peine : 14 mois d’incarcération par enfant assassiné.

Cette libération, dans sa mansuétude, révèle en filigrane, la reconnaissance d'une circonstance atténuante liée à l'avortement légalisé. En effet, comment ne pas associer la récurrence de ce genre de crime à un effet secondaire de la banalisation d'une loi qui garantissait, non sans cynisme, « le respect de tout être humain dès le commencement de la vie »  (l'Article 1er de la loi Veil). Finalement, avorter l'enfant à naître ou le tuer juste après sa naissance, quelle différence fondamentale ?

Devrons-nous alors légiférer et dépénaliser ces actes au motif d'adapter la loi aux pratiques, comme pour l'avortement en 1975 ?

Cette affaire prouve une nouvelle fois que toute atteinte au caractère sacré de la Vie, et plus encore lorsque cette atteinte est inscrite dans les lois (a)morales d'une société,  ne peut aboutir qu'aux pires dérèglements.

 

Jean-Luc BOULARD

 

 

Courrier non publié par l'Yonne Républicaine...

 

 
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11 avril 2010 7 11 /04 /avril /2010 20:59

Réponse à un courrier des lecteurs paru dans l'Yonne Républicaine le 08 avril 2010

 

Dignité ou euthanasie

 

Dans un courrier de votre édition du 8 avril, J.-P. Martin, sous le titre « Mourir dans la dignité » fait l’âne en se demandant ingénument « pourquoi ce qui est autorisé en Suisse, Belgique et Hollande ne l’est pas en France ». Et d’en appeler aux grandes heures humanistes du pays, avec l’incontournable référence à la loi de 1975 dépénalisant l’avortement.

Il apparaît révélateur de constater ce tropisme pour des politiques de mort car c’est bien là que le bât blesse : toutes ces pratiques contiennent, en germe, des dérives mortifères de masse ou individuelles.

Certaine idéologie l’avait bien compris, ce fut son premier travail d’imposer mentalement à ses citoyens un concept eugéniste global basé sur l’avortement, l’euthanasie, la sélection des nouveaux-nés. La fin, nous la connaissons.

 

Jean-Luc Boulard,

Sens le dimanche 11 avril 2010

 

Courrier non publié par l'Yonne Républicaine...

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24 janvier 2010 7 24 /01 /janvier /2010 13:16

leurope.gifDevant l’actualité (en particulier de ces candidats à l’immigration clandestine - mais reconnue et prise en charge par la République -  débarqués en Corse), vous ne pouvez plus ignorer cet ouvrage majeur de Jean Raspail, « Le Camp des saints » publié en 1973.

Question de salubrité intellectuelle…

 

« Dans le delta du Gange, un million de « miséreux » prennent d'assaut des cargos. Ceux-ci voguent alors vers un Occident incapable de leur faire modifier leur route. Les bateaux s'échouent sur la Côte d'Azur, sous l'œil impuissant de pouvoirs publics désarmés face à la veulerie de la population autochtone et l'affaiblissement de l'armée. Dans ce roman, qui comporte de nombreuses références à l'Apocalypse de saint Jean, Jean Raspail décrivait la submersion de la France. De l'incapacité tant des pouvoirs publics que de la population à réagir face à cette invasion, pacifique, mais lourde de conséquences pour notre civilisation déjà ancienne, Raspail a tiré une farce tra¬gique aux accents prophétiques. Il y a ainsi dénoncé ce qu'il considérait être un aveuglement de la part d'un clergé catholique, trop favorable à ses yeux à l'accueil de populations immigrées, devant les modifications que ces flux comportent sur la nature d'une civilisation. Dans une préface de 2006, Jean Raspail a estimé ne rien avoir à regretter de ce qu'il avait écrit. » (Extrait de Wikipédia)

 

Quand la fiction est dépassée par la réalité…

Très facile à trouver en réédition ou sur les sites de vente en ligne de livres d’occasion.


C’est tellement mieux de savoir pourquoi, comment et de quoi notre civilisation agonise…

JLB

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21 janvier 2010 4 21 /01 /janvier /2010 22:31
Bernard-Henri Lévy dénonce une désinformation sur Benoît XVI et Pie XII

ROME, Jeudi 21 Janvier 2010 (ZENIT.org) - L'écrivain et journaliste français Bernard-Henri Lévy a dénoncé « la mauvaise foi » et « la désinformation » relayées par les médias français sur Benoît XVI et Pie XII, les qualifiant de « boucs émissaires ».

C'est ce qu'il a affirmé dans un article paru dans le quotidien italien Il Corriere della Sera le 20 janvier et repris le lendemain par L'Osservatore Romano.

Après la visite de Benoît XVI à la synagogue de Rome et « alors que l'événement est encore chaud », Bernard-Henri Lévy a souhaité « mettre quelques points sur les ‘i' ».

« Il faudrait en finir avec la mauvaise foi, le parti pris et, pour tout dire, la désinformation dès qu'il s'agit de Benoît XVI », déplore-t-il. « Depuis son élection, on a intenté un procès à son ultra-conservatisme, repris continuellement par les médias (comme si un pape pouvait être autre chose que conservateur) ». « On a insisté avec des sous-entendus, si ce n'est avec des plaisanteries lourdes, sur ‘le pape allemand', sur ‘le post-nazi' en soutane, sur celui que l'émission satirique française ‘Les Guignols' n'a pas hésité à surnommer ‘Adolphe II' ».

A l'occasion de la visite de Benoît XVI à la synagogue de Rome, les médias n'ont pas attendu « que le pape passe le Tibre pour annoncer, urbi et orbi, qu'il n'avait pas su trouver les mots qu'il fallait dire, ni accomplir les gestes qu'il fallait faire, et qu'il avait donc manqué son objectif... », a encore ajouté l'écrivain français.

Dans cet article, Bernard-Henri Lévy s'est aussi arrêté sur les polémiques autour de la figure de Pie XII.

Il a rappelé que Rolf Hochhuth, l'auteur de la pièce de théâtre Le vicaire, qui « lança en 1963 la polémique sur les ‘silences de Pie XII' », est « un négationniste patenté, condamné plusieurs fois comme tel et dont la dernière provocation, il y a 5 ans, fut de prendre la défense, dans une interview à l'hebdomadaire d'extrême droite Junge Freiheit, de celui qui nia l'existence des chambres à gaz, David Irving ».

Bernard-Henri Lévy a aussi rappelé qu'en 1937, « le terrible Pie XII, quand il n'était encore que le cardinal Pacelli, fut co-auteur avec Pie XI de l'encyclique Mit brennender Sorge, qui continue aujourd'hui encore à être un des manifestes anti-nazis les plus fermes et les plus éloquents ».

« Avant d'opter pour l'action clandestine, avant d'ouvrir, sans le dire, ses couvents aux juifs de Rome traqués par les fascistes, le silencieux Pie XII prononça quelques allocutions radiophoniques (par ex. à Noël 1941 et 1942) qui lui valurent après sa mort, l'hommage de Golda Meir : ‘pendant les dix années de la terreur nazie, quand notre peuple a souffert un martyre effroyable, la voix du Pape s'est élevée pour condamner les bourreaux' », a-t-il encore ajouté.

« On s'étonnera surtout que, dans le silence assourdissant qui marqua le monde entier lors de la Shoah, on fasse porter tout le poids, ou presque, à celui qui, parmi les dirigeants d'alors : a) n'avait ni canons ni avions à disposition ; b) ne ménagea pas ses efforts pour partager, avec ceux qui avait des avions et des canons des informations dont il avait connaissance ; c) sauva en personne, à Rome et ailleurs, un très grand nombre de ceux dont il avait la responsabilité morale », a poursuivi Bernard-Henri Lévy.

« Pie et Benoît : on peut être papes et boucs émissaires ».

Marine Soreau

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20 janvier 2010 3 20 /01 /janvier /2010 22:06

LE TESTAMENT DE LOUIS XVI

 

Au nom de la Très Sainte Trinité, du Père, du Fils et du Saint-Esprit, aujourd'hui vingt-cinquième jour du mois de décembre mille sept cent quatre -vingt douze. Moi, Louis seizième du nom, roi de France, étant depuis quatre mois enfermé dans la Tour du Temple, à Paris, par ceux qui étaient mes sujets et privé de toute communication quelconque même depuis le onze du courant avec ma famille, de plus impliqué dans un procès dont il est impossible de savoir l'issue à cause des passions des hommes, et dont on ne trouve aucun prétexte ni moyen dans aucune loi existante, n'ayant que Dieu pour témoin de mes pensées et auquel je puisse ni 'adresser, le déclare ici en sa présence mes dernières volontés et sentiments.

Je laisse mon âme à Dieu mon créateur, je le prie de la recevoir dans sa miséricorde, de ne pas la juger d'après ses mérites mais d'après ceux de Notre-Seigneur Jésus- Christ, qui s'est offert en sacrifice à Dieu Son Père pour nous autres hommes quelque indignes que nous en fussions et moi le premier.

Je meurs dans l'union de notre Sainte Mère l'Église catholique, apostolique et romaine qui tient ses pouvoirs par une succession non interrompue de saint Pierre auquel J.C. les avait confiés. Je crois fermement tout ce qui est contenu dans le symbole et les commandements de Dieu et de l'Église, les sacrements et les mystères tels que l'Église catholique les enseigne et les a toujours enseignés, je n'ai jamais prétendu me rendre juge dans les différentes manières d'expliquer les dogmes qui déchirent l'Église de J.C., mais je m'en suis rapporté et rapporterai toujours si Dieu m'accorde vie, aux décisions que les supérieurs ecclésiastiques unis à la Sainte Église catholique donnent et donneront conformément à la discipline de l' Église suivie depuis J. C. Je plains de tout mon cœur nos frères qui peuvent être dans l'erreur, mais je ne prétends pas les 1es juger, et je ne les aime pas moins tous en J. C. suivant ce que la charité chrétienne nous l'enseigne.

Je prie Dieu de me pardonner tous mes péchés, j'ai cherché à les connaître scrupuleusement, à les détester et d m'humilier en sa présence, ne pouvant me servir du ministère d'un prêtre catholique. Je prie Dieu de recevoir la confession que je lui en ai faite, et surtout le repentir profond que j'ai d'avoir mis mon nom (quoique cela fût encore ma volonté) à des actes qui peuvent être contraires à la discipline et à la croyance de l'Église catholique à laquelleje suis resté sincèrement uni de cœur. Je prie Dieu de recevoir la ferme résolution, s'il m'accorde vie, de me servir aussitôt que je le pourrai du ministère d'un prêtre catholique, pour m'accuser de tous mes péchés et recevoir le sacrement de pénitence.

 

Je prie tous ceux que je pourrais avoir offensés par inadvertance (car je ne me rappelle pas d'avoir fait sciemment aucune offense à personne) ou à ceux à qui j'aurais pu avoir donné de mauvais exemples ou des scandales de me pardonner le mal qu'ils croient que je peux leur avoir fait.

Je prie tous ceux qui ont de la charité d'unir leurs prières aux miennes, pour obtenir de Dieu le pardon de mes péchés.

Je pardonne de tout mon cœur à ceux qui se sont faits mes ennemis sans que je leur en aie donné aucun sujet, et je prie Dieu de leur pardonner, de même que ceux qui par un faux zèle ou un zèle mai entendu m'ont fait beaucoup de mal,

Je recommande à Dieu ma femme, mes enfants, ma sœur, mes tantes, mes frères et tous ceux qui me sont attachés par les liens du sang, ou par quelque autre manière que ce puisse être.

Je prie Dieu particulièrement de jeter des yeux de miséricorde sur ma femme, mes enfants, et ma sœur qui souffrent depuis longtemps avec moi, de les soutenir par sa grâce s'ils viennent d me perdre, et tant qu'ils seront dans ce monde périssable.

Je recommande mes enfants à ma femme, le n'ai jamais douté de sa tendresse maternelle pour eux. Je lui recommande surtout d'en faire de bons chrétiens et d'honnêtes hommes, de leur faire regarder les grandeurs de ce monde (s'ils sont condamnés à les éprouver) comme des biens dangereux et périssables, et de tourner leurs regards vers la seule gloire durable et sûre de l'Éternité.

Je prie ma sœur de vouloir bien continuer sa tendresse à mes enfants, et de leur tenir lieu de mère s'ils avaient le malheur de perdre la leur.

Je prie ma femme de me pardonner tous les maux qu'elle souffre pour moi, et les chagrins que je pourrais lui avoir donnés dans le cours de notre union comme elle peut être sûre que je ne garde rien contre elle, si elle croyait avoir quelque chose à se reprocher.

Je recommande bien vivement à mes enfants, après ce qu'ils doivent à Dieu qui doit marcher avant tout, de rester toujours unis entre eux, soumis et obéissants à leur mère, et reconnaissants de tous les soins et les peines qu'elle se donne pour eux et en mémoire de moi, je les prie de regarder ma sœur comme une seconde mère.

Je recommande à mon fils s'il avait le malheur de devenir Roi qu'il se doit tout entier au bonheur de ses concitoyens, qu'il doit oublier toute haine et tout ressentiment, et nommément tout ce qui a rapport aux malheurs et aux chagrins que j'éprouve, qu'il ne peut faire le bonheur des peuples qu'en régnant suivant les lois, mais en même temps qu'un Roi ne peut les faire respecter, et faire le bien qui est dans son cœur, autant qu'il a l'autorité nécessaire et qu'autrement étant lié dans ses opérations et n'inspirant point de respect, il est plus nuisible qu'utile.

Je recommande à mon fils d'avoir soin de toutes les personnes qui m'étaient attachées, autant que les circonstances où il se trouvera lui en donneront les facultés, de songer que c'est une dette sacrée que j'ai contractée envers les parents ou les enfants de ceux qui ont péri pour moi', et ensuite de ceux qui sont malheureux pour moi. Je sais qu'il y a plusieurs personnes de celles qui m'étaient attachées qui ne se sont pas conduites avec moi comme elles le devaient et qui ont même montré de l'ingratitude, mais je leur pardonne (souvent dans les moments de troubles et d'effervescence on n'est pas le maître de soi) et je prie mon fils, s'il en trouve l'occasion, de ne songer qu'à leur malheur.

Je voudrais pouvoir ici témoigner ma reconnaissance à ceux qui m'ont montré un véritable attachement désintéressé. D'un côté, si j'étais sensiblement touché de l'ingratitude et de la déloyauté de gens à qui je n'avais jamais témoigné que des bontés, à eux, à leurs parents ou amis, de l'autre j'ai eu de la consolation à voir l'attachement et l'intérêt gratuit que beaucoup de personnes m'ont montré. Je les prie de recevoir tous mes remerciements. Dans la situation où sont encore les choses, je craindrais de les compromettre si je parlais plus explicitement, mais je recommande spécialement à mon fils de chercher les occasions de pouvoir les reconnaître.

Je croirais cependant calomnier les sentiments de la Nation, si je ne recommandais ouvertement à mon fils MM. de Chamilly et Stal que leur sensible attachement pour moi avait porté à s'enfermer avec moi dans ce triste séjour et qui ont pensé en être les malheureuses victimes. Je lui recommande aussi Cléry des soins duquel j'ai eu tout lieu de me louer depuis qu'il est avec moi. Comme c'est lui qui est resté avec moi jusqu'à la fin, je prie MM. de la Commune de lui remettre mes hardes, mes livres, ma montre, ma bourse et les petits effets qui ont été déposés au Conseil de la Commune.

Je pardonne encore très volontiers à ceux qui me gardaient les mauvais traitements et les gestes dont ils ont cru devoir user envers moi. J'ai trouvé quelques âmes sensibles et compatissantes, que celles-ci jouissent dans leur cœur de la tranquillité que doit leur donner leur façon de penser.

Je prie MM. de Malesherbes, Tronchet et Desèze de recevoir ici tous mes remerciements et l'expression de ma sensibilité pour tous les soins et les peines qu'ils se sont donnés pour moi.

Je finis en déclarant devant Dieu et prêt à paraître devant lui que je ne me reproche aucun des crimes qui sont avancés contre moi.




Fait double à la Tour du Temple le 25 décembre 1792.

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17 janvier 2010 7 17 /01 /janvier /2010 21:24
Tout est vrai, nous y étions !!!  
Jean-Luc, Catherine et les enfants...

En attendant le début de la Marche pour la Vie

09h20 : Le car de Saint-Etienne est bien parti et a récupéré les marcheurs de Lyon accompagnés par monsieur Richard, soit 49 personnes.

09h40 : Le bus de Dijon est parti à 09h30 avec tous ses passagers, c'est-à-dire 38, dont une personne qui vient de Suisse et qui a dormi dans sa voiture pour pouvoir être à l'heure. Dans une demi-heure nous récupérons les Auxerrois!

Depuis ce matin, grand soleil et ciel bleu sur Paris!

Photo-016013h30 : La messe célébrée par le père Bernard Domini, modérateur de la Famille Missionnaire de Notre-Dame à la basilique Notre-Dame du Perpétuel Secours vient de se terminer. Au moins 300 personnes, membres et amis de la communauté, dont un très grand nombre de jeunes, ont fait le déplacement de Bretagne, d'Alsace, du Sud-Ouest, de Cannes, de Lyon, de Sens ou encore de Saint-Pierre de Colombiers. Certains ont roulé toute la nuit (Cannes).

14h00 (Caroline) : Beaucoup de personnes commencent à affluer place de la République. C'est indéniable, il y a beaucoup plus de monde que l'année dernière à la même heure. Les pancartes, les bandanas et les tee-shirts réalisés par le collectif sont en train d'être distribués. Il y a beaucoup de ballons avec l'inscription : "Défends la Vie". Les jeunes sont très nombreux, ils représentent au moins 80% des personnes présentes.

Tn114h10 (collectif) : Les délégations étrangères commencent à arriver. Virginie Mercier est interviewée par des journalistes espagnols. Cécile Edel est interviewée par Marine Lamoureux de La Croix.  

14h15 (Circa) : première photo ci-contre. Il y a au moins 300 personnes présentes autour du podium. Les bandanas ont un succès fou.

 14h25 (Pierre) : la foule ne cesse de gonfler et on atteint facilement un millier de personnes.Tn2 Nouvelle photo d'une manifestation jeune et enthousiaste!

Tn3 14h32 (Michel) : Le car de Reims est arrivé ainsi qu'une délégation étrangère. Don Louis-Marie, père abbé du Barroux est bien présent. Il y a au moins 1500 personnes et d'autres encore qui arrivent des quatre coins de la place. La Marianne de la Place de la République porte une jolie écharpe rouge, une des couleurs de la marche (merci à Circa pour les nouvelles photos).

14h36 (Thierry) : Comme chaque année les cors des Alpes d'une délégation suisse viennent de commencer à jouer sur la place de la République. Les premiers slogans sont visibles et audibles : "Ne les tuez pas" "Laissez-moi la vie"; "des lois pour la vie".

Tn7 14h45 (Michel) : Des média nationaux sont présents comme l'AFP, France 3 et France 2, qui réalise un reportage sur la marche. Jeanne Smits du quotidien Présent est là. Les délégations étrangères se succèdent au podium et s'adressent à la foule. Les délégations espagnoles et italiennes viennent de s'exprimer et laissent le micro aux Hollandais.

Tn6 14h48 (Michel)

: La foule est de plus en plus compacte. Il est très difficile de se déplacer place de la République. Plusieurs milliers de personnes sont maintenant présentes. De très nombreux cars déposent leurs passagers au fur et à mesure dans un flux discontinu... Parmi les personnalités, on aperçoit Michel Hubault du PdF. L'abbé Le Coq de la FSSP est arrivé.

Tn9 14h54 (Fred) : on note une grosse accélération de l'arrivée de marcheurs. La place est complètement bloquée. A comparer avec l'année dernière, la foule est beaucoup plus nombreuse, beaucoup plus dense et toujours aussi enthousiaste : on peut estimer près de 10 000 personnes. Les délégations étrangères sont bien présentes!

Tn10 Le Père Hubert Lelièvre (Evangile de la Vie), l'Abbé Tréchaussec (ICRSP) ont été aperçus dans une foule très nombreuse.

14h59 (Thierry) : Fin des discours des pays étrangers (10 délégations) avec la dernière délégation et début de la lecture des témoignages de femmes ayant souffert de l'avortement.

Tn12 15h10 (Frédéric) : Cécile Edel donne désormais la parole au père Bernard, modérateur de la FMND. Ce dernier prononce une allocution dans un silence impressionant. Voir son allocution ici. La fin de son allocution entraîne une réaction très enthousiaste de la foule qui applaudit vivement.

15h20 (Michel) : Daniel Hamiche (Americatho) et Frédéric Pichon d'Europa Gentes sont là. Côté personnalités politiques Martial Bild (PdF) est présent. Voici un slogan que l'on peut entendre : "Moi aussi, j'étais un embryon". Une chanson est également entonnée :

Tn11 " Si j'étais président de la République, jamais plus un enfant n'aurait de fin tragique, si j'étais président on ferait le maximum pour le plus petit des hommes".

 

Début de la Marche pour la Vie


Tn15 15H10 (Thierry)
: début de la répétition des slogans : "oui pour la vie, pour les tout petits, assez assez sauvons les bébés" "des droits pour la vie, des lois pour la vie, pas demain aujourd'hui!"

15h35 (Circa) : Le départ est annoncé. Le cortège se met en place.

Tn17 15h45 (Fred)

: la tête du cortège est avancée de 100 mètres dans le boulevard Saint Martin. Le reste de la foule est immobile place de la République; les gens sont "serrés comme des sardines". L'affluence est en très nette augmentation par rapport à l'année dernière et le chiffre de 15 000 participants est d'ores et déjà dépassé!

16h00 (Michel) : C'est énorme, la fréquentation est très largement supérieure à l'année dernière! Quelques élus et responsables politiques (Carl Lang du PdF) et surtout énormément de jeunes, une ambiance absolument géniale, bon-enfant et enthousiaste. Beaucoup de poussettes et de jeunes foyers.

Tn24 16h15 (Fred) : C'est impressionant, c'est hallucinant! La tête du cortège est boulevard Saint-Martin. Remonter le cortège à contre-courant relève de l'exploit. La foule est d'une densité incroyable. Beaucoup de jeunes, de familles. La longueur du cortège est d'une longueur impressionante. Christian Baeckeroot et Martine Lehideux du PdF sont dans la foule. Le podium est animé par Cécile Edel, Patrick Bray et Emile Duport. Les slogans alternent avec des morceaux de musique française. L'ambiance est extraordinaire!

Tn 33 16h20 (Salon Beige) : on peut vous l'annoncer : Un évêque est parmi nous dans le cortège! Il s'agit de monseigneur Dominique Lebrun, évêque de Saint-Etienne (photo ci-contre)! Deo gratias.

16h27 (Circa) : Une foule impressionnante et très disciplinée, joyeuse, criant des slogans. On parle de 25 000 personnes et vu la densité et l'élongation du cortège ne paraît pas exagéré. L'ambiance est extraordinaire. Il y a beaucoup de prêtres.

Tn42 16h35 (Virginie) : Cécile Edel a annoncé la présence de monseigneur Lebrun, évêque de Saint-Etienne et souligné son courage d'être présent à la Marche pour la Vie. Une pluie d'applaudissements a accueilli cette nouvelle et l'émotion était perceptible dans le cortège.

Tn35 16h37 (Michel) : Michel a croisé monseigneur Lebrun et lui a demandé sa motivation : la lutte contre l'avortement et la défense de la vie. Il a été très surpris d'apprendre qu'il était le premier évêque à participer : il est venu tout simplement en évêque accompagner ses fidèles de Saint-Etienne.

Tn33 16h40 (Fred) : A 16h30, la tête du cortège est arrivée en vue de l'Opéra alors que la queue quittait la place de la République. C'est tout dire sur l'étendue de cette manifestation confirmée par Michel qui nous annonce qu'il faut trois quarts d'heure au cortège pour franchir un point donné. Le parcours de 2,6 km devient trop petit pour les défenseurs de la Vie en France!

Tn31 16h41 (Thierry) : Au 21 bd de la bonne nouvelle 3 provocateurs hurlent de leur balcon avec un mégaphone "l'ivg libre et gratuit" ils se font huer! La police est intervenue pour les faire cesser au nom du respect de l'ordre public.

16h46 (Michel) : Sos Tout-petits et Renaissance Catholique forment un groupe d'un millier de personnes qui ferment la Marche en récitant le Rosaire. L'ambiance dans le reste du cortège est à la fête et à la joie : bientôt devrait être repris par tous les participants le fameux chant de la Marche pour la Vie!

Tn50 17h00 (Virginie): la tête du cortège arrive à l'Opéra. Jamais cette Marche n'avait compté autant de monde. Un chiffre incroyable de minimum 20 000 participants sera repris par l'AFP aux dires d'une de ses journalistes présentes à l'Opéra.

Tn60 17h08 (Fred) : L'ambiance est extraordinaire place de l'Opéra qui commence à se remplir. Tout le cortège n'est pas encore là, mais la place est pleine aux trois quarts! La place de l'Opéra risque d'être trop petite cette année! Emile Duport anime le podium en alternant musique et slogans. La jeunesse des participants crée une atmosphère extraordinaire, c'est "du feu de Dieu!".

Tn61 17h11 (Presse) : Première dépêche officielle et elle paraît dans le Figaro. Il est encore temps pour ces journalistes d'aller Place de l'Opéra pour que leurs "quelques milliers" de participants se transforment en "20 milliers", chiffre véritable minimal!

Tn64 17h20 (Michel) : ça n'en finit pas d'arriver, c'est la fête à l'Opéra : la place est bondée, les marches recouvertes de participants. Extraordinaire...

17h27 (Fred) : Tout le cortège est arrivé. La place de l'Opéra est bondée et malgré les premiers départs de participants dans les bouches de métro, les trois quarts de la place sont encore occupés. Du jamais vu. Début des discours de clotûre.

Tn69 17h30 (Circa) : début du discours de Dolores Meehan de San Francisco (photo).

17h38 (Circa) : Fin des discours de clotûre. Benjamin Izarn, président des étudiants pro-vie, a prononcé une allocution que vous retrouverez ici. L'ambiance fut extraordinaire, les participants complètement impliqués et motivés. Le succès de cette marche est indiscutable. Rendez-vous est donné l'année prochaine, le 23 janvier!

Nt70 17h45 (Virginie) : Les forces de l'ordre ont su se faire discrètes et ont été bluffées du bon comportement de tous les manifestants. La Marche a été extraordinaire : les participants ont bien repris les slogans, les chansons, l'ambiance a été au bon fixe. Les consignes ont bien été respectées par tous à l'exception d'un tractage intempestif de l'Action Française et de Solidarité. Mais ce détail ne doit absolument pas remettre en cause le dynamisme réellement vécu et celui né de cette Marche pour laquelle des spécialistes des foules évoquent le nombre de 30 000 participants.

 

Source : Le Salon beige

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12 janvier 2010 2 12 /01 /janvier /2010 20:14
Halte aux incitations homosexuelles dans les écoles primaires !


Pétition auprès des ministères de la Jeunesse et des Sports, de l’Education nationale, du Conseil régional de Bretagne et du Conseil général des Côtes d’Armor pour l’arrêt de tout partenariat avec le film « Le Baiser de la lune » et pour l’interdiction de sa diffusion dans les écoles.

Nous, citoyens français, parents ou grand-parents d’élèves, voulons faire connaître aux responsables politiques français notre refus absolu de voir pénétrer dans les écoles la propagande du lobby homosexuel.

Nous exigeons que les institutions publiques se retirent de tout partenariat avec les promoteurs du film « le baiser de la lune » et que le ministère de l’Education nationale prenne toutes mesures pour interdire sa diffusion dans les écoles publiques et privées sous contrat.

Face à la prise en otages de nos enfants par le lobby homosexuel, nous voulons faire connaître notre profond sentiment de révolte et avertissons la classe politique que sa capitulation devant les exigences exorbitantes dudit lobby sera inévitablement sanctionnée dans les urnes.

http://www.les4verites.com/petition-lune.php
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9 novembre 2009 1 09 /11 /novembre /2009 21:41

Question d’Hérodote :
Après la mort du dernier «poilu» en 2008, que peuvent encore signifier la commémoration de l’Armistice du 11 novembre 1918 et les cérémonies rituelles devant les monuments aux morts ? Faut-il les remplacer par une «journée de l’amitié franco-allemande» comme d’aucuns le suggèrent ?

Ma réponse :
Non, je pense qu'on ne peut effacer 1.500.000 morts d'une pirouette politicienne.
Toujours et encore : renoncer, faire repentance, se coucher...
Cette journée commémore un armistice, après une boucherie sans nom, pas une amicale fraternelle franco-allemande. Il restera toujours 364 jours pour y penser...


http://flash.herodote.net/?p=727#comment-1706
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10 octobre 2009 6 10 /10 /octobre /2009 10:49

    Les écrits autobiographiques de l’écrivain, présentateur télé et ministre de la culture Frédéric Mitterrand resteront évidemment scandaleux, même après l’éteignoir qui ne manquera pas d’étouffer l’affaire.
    Quoiqu’il en dise, ces écrits constituent une apologie d’un certain modèle de re-lations sexuelles avec des « gosses », des « garçons » et dans le cadre d’une prostitution masculine organisée lors de voyages lointains…
    Que dire de cette mansuétude pour deux violeurs de sa connaissance et qui se voient proposer, aux frais de l’état, un tapis rouge alors que la victime reste superbe-ment ignorée… «En tant que directeur de l'Académie de France à Rome, je m'en-gage personnellement à faciliter toute mesure de réinsertion » écrit-il et ajoutant dis-poser « d'un certain nombre de contacts qui pourraient être mis à profit » dans « son entourage parisien».
     Ils confirment, après les réactions indignées et de soutien à Polanski qui doit répondre d’un viol sur mineure, la décadence dans laquelle une majeure partie de nos élites intellectuelles et politiques , le show-bizz s’enfoncent avec volupté. Il n’en reste pas moins que la situation politique apparaît ubuesque. Mitterrand, ce socialiste tendance décadente et gauche caviar, est soutenu par la droite qui devrait être, en principe, conservatrice et gardienne des dernières valeurs morales si tant est que l'on en reconnaisse.
    Par ailleurs, il se trouve décrié par certains de la gauche (bravo !!!), le tout avec une seule formation politique offensive : le front national !!! Et beaucoup de personnalités ou de partis politique qui se mettent la tête dans le sable...
    Bref, pas réjouissant !!!

Jean-Luc BOULARD

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7 octobre 2009 3 07 /10 /octobre /2009 20:51

     Je ne m’intéresse qu’assez peu, géographie oblige, à la politique jovinienne, sauf à suivre le mauvais feuilleton grand-guignolesque qu’elle a bien voulu nous donner par presse interposée.
    Je note simplement cette citation d’un battu de la droite locale qui, au soir de la bataille des municipales de Joigny, toute honte bue, après avoir salué son vainqueur socialiste probablement bien étonné de se retrouver là, déclare : « nous avons perdu, mais nous sommes devant l’autre liste de droite ; pour nous c’est une satisfaction. » (L’Yonne Républicaine du 21 septembre)
    Si Henri de Raincourt parlait ce même soir « d’une claque méritée », on peut véritablement parler, au vu de telles déclarations, toutes droites confondues, de têtes à claques...
    Ainsi se trouve toujours vérifié l’axiome bien connu de Guy Mollet : « en France, on a la Droite la plus bête du monde »…

Jean-Luc BOULARD
Sens le mercredi 7 octobre 2009

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