Gianna Jessen est une Américaine, aujourd’hui âgée de 33 ans, née à Los Angeles (Californie). C’est une chrétienne, dont j’ignore encore si elle est catholique, mais c’est une militante pro-vie, et une militante pro-vie miraculée dont sa mère a voulu se débarrasser alors qu’elle en était à six mois et demi de grossesse ! L’abominable avorteur de Planned Parenthood a eu recours à une injection dite “saline” pour tuer cette enfant à naître. Gianna a survécu à ce qui aurait du la tuer, et plaisante aujourd’hui sur cet abominable avorteur obligé de signer le certificat de naissance de celle qu’il avait voulu tuer… La vidéo que je ne vous propose pas de voir, mais que je vous supplie de regarder, a été filmée eu Australie, à Melbourne, en 2008. Ne vous inquiétez pas : tout est sous-titré en français (avec un très léger décalage, sur mon navigateur, entre l’image et la parole). Vous allez y découvrir un témoignage bouleversant, très “américain” dans son style, c’est-à-dire mêlant humour et profonde réflexion. Vous devez voir et écouter Gianna. Et vous devez faire circuler ce témoignage.
Dans l'édition du 3 février de l'Yonne Républicaine,le « Propos du jour » est consacré au meurtre de Laetitia. Indignation de circonstance…
Une énième fois, les mêmes maux produisent les mêmes effets.
Quelques exemples pourtant très simples à comprendre…
Lorsque une peine est prononcée par un jury populaire, donc par le peuple, sa décision souveraine est scandaleusement abrogée par toute une clique de fonctionnaires dévoués à la réinsertion du condamné, toute une batterie de textes exclusivement en faveur du criminel.
Le mot « perpétuité », littéralement « pour toujours », n'existe plus dans les faits. En moyenne, un condamné à perpétuité ne demeure que 17 ans emprisonné… Ensuite ? Débrouille-toi !
Quand on songe que ce châtiment constituait le substitut de la peine de mort lors de son abrogation en 1981, le mot d’escroquerie intellectuelle n'est pas trop fort.
Cette réalité devient tout simplement un scandale pour ceux dont les enfants ou les proches ont été assassinés après récidive…
Autre anomalie spécifiquement française, la "confusion des peines". Dans notre code pénal, la peine la plus lourde absorbe toutes les autres, les condamnations successives se confondent... Un défi à l'arithmétique la plus élémentaire !
Les familles des victimes suppliciées, lorsqu’elles sont confrontées au drame, découvrent brutalement la vacuité totale de notre système pénal.
Le débat pour le rétablissement et l'application de la peine de mort mériterait d'être remis sur la place publique, démocratiquement cette fois…